Catherine Noyer
besuchte die Europäische Kunstakademie in Trier ab 1977 und belegte Kurse für Radierung und Fotoradierung unter anderem bei Professor Dr. Erich Krämer. Als Katzenliebhaberin kristallisierte sich ihre Präferenz der figurativen Darstellung der Samtpfote als künstlerisches Motiv heraus. Ihr erstes Katzenbild, „Le Chat“, eine Hommage an Siamkater „Otto“, hat Kultstatus.
Weshalb ausgerechnet Katzen? „An den Samtpfoten faszinieren mich ihre eleganten Bewegungen“, so die Katzenspezialistin, die zuhause auf lebende Modelle zurückgreifen kann. Bei diesen handelt es sich um hochbeinige, schlanke Siamesen und Orientalen, die durch ihre typische Statur auch auf den Gravuren unverkennbar sind.
Die Künstlerin setzt sich intensiv mit der Darstellung von Samtpfoten auseinander. In ihren Aquatinta-Gravuren sind Katzen in allen Variationen und Eigenarten in feinen Linien auf Büttenpapier gedruckt wieder gegeben. Alle Gravuren, in einer kleinen Auflage, sind handsigniert und nummeriert.
Seit 1980 stellt Catherine Noyer ihre Werke erfolgreich in Deutschland, Belgien, den Niederlanden, Frankreich und Luxemburg aus.
1992 erhielt sie den 1. Preis für Radierung beim Salon Régional des Armées und im selben Jahr eine weitere Auszeichnung beim 43. Salon National de Peinture et Sculpture des Armées in Paris.
Catherine Noyer
a suivi en 1977/78 des cours de gravure et de photogravure à l’Académie Européenne des Beaux Arts de Trèves auprès du professeur Erich Kraemer. Amoureuse des chats, elle vient à la représentation figurative des félins, ce qui devient une passion et son thème artistique principal. Son motif préféré est le chat siamois « Otto », dont la représentation par la gravure « le chat » fait partie des œuvres majeures.
Pourquoi le chat ? « Ce sont leurs mouvements élégants qui me fascinent », explique la spécialiste, qui dispose de modèles vivants chez elle. Les modèles en question sont des siamois et orientaux qui, avec leurs masques, leurs corps élancés et leurs pattes hautes, peuvent facilement être identifiés sur les gravures.
Pour les représenter l’artiste plonge totalement dans l’univers des pattes de velours, afin de transposer sur les plaques de cuivre leurs mouvements caractéristiques par la technique d’eau forte et notamment l’aquatinte. Les tirages sont alors effectués en petit nombre sur du papier vélin, numérotés et signés.
Depuis 1980 Catherine Noyer expose ses œuvres avec succès au Luxembourg, en Allemagne, en Belgique, aux Pays Bas et en France. Entre autres, en 1992 au Château de Vincennes et en 1995 à la galerie Dany Laure à Paris. En 2008, 2012 et 2015 elle a attiré les amateurs de chats et de fines gravures à l’Artium Art Gallery à Luxembourg.
En 1992 l’artiste reçoit le 1er Prix de gravure du Salon Régional des Armées et une Mention de Gravure au 43ième Salon National de Peinture et de Sculpture des Armées à Paris.